Rando chez Julie BERNARD
30 Août 2009
Reprise de l'attelage après une absence d'environ 3 mois.
Rendez vous au Chambon sur Lignon chez Julie qui organisait cette journée d'attelage de loisirs.
Le matin une dizaine d'attelages sont partis sur les chemins pour une ballade de 12 km environs autour du golf et après midi mania en toute convivialité.
Encore merci à Julie
Un intrus chez les Provence (s) !
Ce jour, Dimanche 29 avril Jean - Jo invitait ses amis ânes de Provence mais Pacha le Berrichon de Haute Loire se tapait l'incruste parmi eux. Ce fut une belle journée d'entrainement avec une bonne ambiance. La matinée, après un bon café, fut la traversée des différents obstacles: gué, pont,planche de bois, rubalises,etc .... puis tirage du traineau .L'après midi après un bon repas , il nous avait programmé un parcours tout - terrain dans la forêt avec une maniabilité sur sa prairie. Notre Berrichon a bien "tiré" son épingle du jeu malgré une montée de la forêt rendue glissante par le pluie de la veille.
Merci à tous pour cette participation
Merci à tous pour cette participation
Matinée maréchalerie avec Jérôme PASCAL
Entrainement au débardage pour Pacha
« Le père Frédé »
Frédéric Gérard avait longtemps arpenté les trottoirs monmartrois, en compagnie de son âne (« Lolo ») et en qualité de vendeur de produits des quatre saisons, avant de devenir propriétaire d'un cabaret, Le Zut, situé selon les sources rue Norvins ou rue Ravignan, établissement qui, se souvient Mac Orlan qui y assista, « termina sa courte carrière lors d'une bagarre mémorable qui dura toute une nuit. » Lorsqu'il emménage au Lapin Agile, il garde avec lui son singe, son chien, son corbeau, ses souris blanches, ainsi que son âne, avec lequel il vend du poisson dans les rues de Montmartre, afin de compléter ses revenus.
Figure pittoresque de la vie montmartroise, avec « sa tenue qui tenait de Robinson Crusoé, du trappeur de l'Alaska et du bandit calabrais », « Frédé » chantait des romances sentimentales ou des chansons réalistes en s'accompagnant au violoncelle ou à la guitare, dont il jouait avec un talent qui ne faisait pas l'unanimité. Surtout, il n'hésitait pas à offrir des repas et des boissons dans son cabaret aux artistes désargentés, en échange d'une chanson, d'un tableau ou d'un poème.
Aristide Bruant, toujours client régulier du Lapin Agile, se lie d'amitié avec le tenancier, et lorsque le bâtiment est promis à la démolition en 1913, il le rachète et laisse « Frédé » en assurer la gérance.